tag:blogger.com,1999:blog-4471204213061038867.post6600618529947936959..comments2024-02-09T21:13:12.196+01:00Comments on Gretallulah: The Man Who Knew Too Much (1956)Orfeohttp://www.blogger.com/profile/15548920782710593504noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-4471204213061038867.post-39393547714074415362017-11-02T23:11:58.735+01:002017-11-02T23:11:58.735+01:00Je tiens La Rue de la honte pour un très bon film,...Je tiens La Rue de la honte pour un très bon film, mais ce n'est cependant pas le meilleur Mizoguchi qui soit: d'une part parce que le sujet surprend peu (encore une histoire de geishas!), et d'autre part à cause de cette musique de thérémine qui en altère son cachet. C'est excellent, mais je préfère de loin Les Musiciens de Gion sur le même thème.<br /><br />Je suis autrement curieux de découvrir Nuages d'été! Naruse me touche généralement peu malgré le brillant de sa mise en scène, mais j'ai encore tant à découvrir parmi ses œuvres...<br /><br />Quant à Crawford, elle est toujours au maximum de ses capacités même pour ses films les plus médiocres. L'adorer est forcément signe de bon goût!Orfeohttps://www.blogger.com/profile/15548920782710593504noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4471204213061038867.post-83884354779252637372017-11-02T09:41:34.582+01:002017-11-02T09:41:34.582+01:00J'ai absolument adoré la Rue de la Honte, pour...J'ai absolument adoré la Rue de la Honte, pour le coup, il s'est inscrit dans un top "général" et placé très haut, genre dans mes 20 films préférés (moi, ça marche toujours : ma composante obsessionnelle est tellement forte ...) J'ai aussi découvert Nuages d'été (de Naruse) cet été et, idem, un choc cinématographique. <br /><br />Bon, je vois que je ne suis pas le seul à placer haut Crawford cette année là, ça me rassure quant à mon bon gout. <br /><br />L'AACF Unknownhttps://www.blogger.com/profile/13796487790116432270noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4471204213061038867.post-59969361783306920142017-10-31T20:30:14.914+01:002017-10-31T20:30:14.914+01:00Dans une sélection strictement anglophone, j'a...Dans une sélection strictement anglophone, j'arrive finalement, avec deux ans de recul, à six candidates: Carroll Baker (Baby Doll), Joan Crawford (Autumn Leaves), Doris Day (The Woman Who Suspect Too Much), Katharine Hepburn (The Rainmaker), Deborah Kerr (The King, His 56 Children and I) et Dorothy McGuire (The Not So Friendly Goose). J'élimine traditionnellement Crawford que je nomme souvent, mais le fait est qu'elle reste excellente et captivante. (L'année regorge autrement de performances dignes d'intérêt, de Monroe à McKenna en passant par Rush et Taylor, mais personne ne s'approche du sextuor mentionné).<br /><br />Dans une sélection internationale, Maria Schell doit donc pousser deux Américaines vers la sortie pour sa performance dans Gervaise, mais c'est la seule non anglophone qui trouve grâce à mes yeux pour le moment (Setsuko Hara dans Shū u et Michèle Morgan dans Marie-Antoinette sont loin d'être nommables malgré leurs qualités).<br /><br />Pour les seconds rôles, j'avais jadis Carroll Baker (Giant), Helen Hayes (Anastasia and The Empress), Dorothy Malone (Mambo Girl), Marisa Pavan (Catherine, Queen of French) et Marie Windsor (The Killing), mais ma découverte de La Rue de la honte rend cette sélection caduque puisque c'est un festival de grands rôles, de la sublime Michiyo Kogure dans un grand contre-emploi de femme peu attirante à l’incandescente Ayako Wakao en arriviste sans scrupules, en passant par la touchante Aiko Mimasu en mère aimante et bien entendu par l'énergique Machiko Kyō en peste insoumise regorgeant de fêlures. Dernièrement, j'avais remplacé Carroll Baker, déjà nommée dans l'autre catégorie, par Machiko Kyō, ma lauréate actuelle.<br /><br />La vérité est que je ne trouve plus de plaisir à faire des sélections. Dès qu'on commence à maîtriser une année, il y a trop de bonnes choses pour se tenir à un top 5 parmi les performances, ou à un top 10 parmi les films.Orfeohttps://www.blogger.com/profile/15548920782710593504noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4471204213061038867.post-53685561680526743232017-10-31T16:37:56.371+01:002017-10-31T16:37:56.371+01:00Mais alors où en es-tu de 1956 ? Qui reste ? Qui p...Mais alors où en es-tu de 1956 ? Qui reste ? Qui part ? En effet, Day cristallise quelque chose et d'une certaine manière, elle saisit un état et un personnage quasiment sur un plan mythologique ou du moins symbolique. Mais, hier, je revoyais quelques extraits de Feuilles d'automne (c'est de saison !) et je me disais que Crawford en faisait autant, malgré son masque de cire permanent, dans un registre évidemment différent. Franchement, sa vieille fille solitaire est aussi émouvante que celles de Katharine Hepburn. Ca ne m'avait pas frappé autant à la première vision. Ou alors je deviens sentimental les années ...<br /><br />Pour revenir à Day, c'était justement un article qui avait attiré mon intention sur cette performance : paradoxalement, Day, l'optimisme délirant incarné, avait été une grande actrice angoissée et hystérique, et ce film était un des appuis de la démonstration (avec Midnight Lace, je suppose, mais je ne m'en souviens plus). <br /><br />L'AACF Unknownhttps://www.blogger.com/profile/13796487790116432270noreply@blogger.com